je n'ai pas de titre, il n'en a pas besoin.

Tu les regardes, tu les écoutes
Tu participes même à la joute
Tu t’amuses bien, l’ambiance est bonne
Mais voila que ta chance t’abandonne.

Tu ne sais pas, tu ne sais plus,
Tu es comme possédé
Te comprends mal ce que tu as lu
Et tu commences à t’emporter

D’une étincelle, tu t’enflammes
Tu incendies, tu ravages tout
Tu n’as pas prévu que le drame
Grandissait sous tes coups.

Et voila que tu t’éteints
Tu regardes le carnage
Tu vois les cadavres de tes liens
Ravagé par ta stupide rage.

Tu tentes de te racheter,
Trop tard le mal est fait
Et tu comprends qu’à jamais,
Reste brisé ce qui l’est.

La poitrine lourde, les yeux baissés
Tu contemples le vide en toi
Puis tu commences à détester
Ce que tu as compris de toi.

Tu les verses, elles coulent en continu
Tu les a blessés, si profond…
Te ne sais pas, tu ne sais plus
Tu perds pied et tu te morfonds.

Ils te reparlent, te réconfortent
Pourtant tu ne le mérites pas
Et tu parles d’une voix peu forte
Pour leur expliquer tout ça.

Ils continuent, tu te sens mal
Et toi tu ne comprends pas
Pourtant c’est toi qui leur as fait du mal
Et pourtant ils sont avec toi.

Tu les contres, tu protestes
Tu te dénigres, tu te détestes
Tu déprimes, ils sont là
Ils te disent qu’il t’aime, juste pour toi.
Tu voudrais bien les croire,
Mais tu es si minable que
Même s’il essaye de te le faire voir
Tu t’obstines à fermer les yeux.

Les minutes passent, les heures aussi
Ils te pardonnent mais souffrent encore
Tu t’excuse, mais le feu qui les dévore
Hante le sommeil de tes nuits.

Tu réfléchi, et tu compose
Dans une feuille ou un écran
Tes sentiments, tu les écris en prose
Tu traduis ce que tu ressens.

Tu te corriges, tu te ratures
Tu tentes en vain de refermer
Le mal ainsi que les blessures
Que tu leur as infligé.

Tu n’y arrives pas, tu vacilles encore un peu.
Tu es vide, tu n’es rien, mais pas eux.
Ils te disent le contraire, mais tu vois bien,
Que derrière leurs mots, la rancœur leur lie les mains.

Des chaînes t’entourent, elles te retiennent
Elles ne se coupent mais elles vont se resserrer
Elles cesseront peut être un jour d’être tiennes.
Si tu répares ce que tu as brisé.

C’est impossible tu le sais bien,
Ce qui est fait est fait.
La preuve est faite, tu n’y changeras rien
Ce qui est brisé le reste à jamais.


J’écris ces lignes, je cherche mes mots
Je voulais juste vous avouer,
Que même si je parle à votre dos,
Je suis vraiment… désolée.
Que même si vous me détestez,
Moi je vous aime, et vous aimerais.

Nam...
C'est magnifique, mais je sais pourquoi tu l'as écris...

Bah on va dire que ça fait du bien de se déverser de ses sentiments. Mais j'ai toujours aussi honte

Faut pas ma grande, mais bravo pour le poème

merci! une grande inspiration en revenant de mon rendez vous loupé de chez le dentist...


mais c'est le plus long que j'ai fais il me semble

Slive a écrit:

Nam...
C'est magnifique, mais je sais pourquoi tu l'as écris...

Ouais, d'ailleurs faudra qu'elle comprenne
D'arrêter avec cette histoire ancienne
Comme d'habitude, tres joli poeme
On les lit et on les aime.

Youhou une nouvelle vocation xD

depuis toujours insoupsconné
Je te découvre ce talent,
Et je sais que dorénavant
il ne sera plus caché!

Bah bon c'est magnifique,
et même fantastique.
Euh... J'en reste statique
et je ne sens plus mes Tics ( ? xD )

Tu ne prend pas l'ampleur,
Exacte de la rancoeur
Tu n'était pas là
Tu ne comprend donc pas.

Pas le coeur de t'expliquer
Pas le coeur d'en parler
Pas envie de m'exprimer
Pas envie d'en discuter

Pas besoin de raviver
Juste pour devoir monter
a quel point ma cruauté
Na pas su où s'arreter.

Ne pleure pas mon petit double!
Fait moi part de ton trouble
Et sèche donc toutes te larmes
Avant que je ne jette les armes!

Je crois qu'au fond, je le déteste celui là.

Moi je l'adore mais ouaw ça arrache le coeur!

Nan je l'aime vraiment pas!

Pourquoi?

Parceque je met peut être une trop grande partie de moi dedans...

Enfin bon c'est ce qui constitue la magie du poème